Vie quotidienne

Que fait l'Union Européenne pour la Région Bretagne ? La question reste en suspens. Afin de déjouer les idées reçues, Nouveau Monde DDB Nantes a réalisé deux vidéos visibles sur les écrans de télévision (France 3 Bretagne, TV Rennes, Tébéo et Tébésud), de cinéma et sur la toile, depuis le 23 mai. Ces deux spots de 20 secondes montrent ainsi à quel point les fonds européens et les investissements du Conseil régional sont indispensables pour les Bretons. Et ce, au quotidien. 

"L'eau de Paris, c'est la boisson officielle des Parisiens !" À l'allure d'un dessin animé signé Hedof, ce spot de moins d'une minute défend la qualité de l'eau du robinet de la ville Lumière. Il valorise l'écologie et l'économie en rappelant qu'un litre d'eau minérale bu au quotidien, coûte uniquement 1 € par an. Une eau de qualité qui accompagne la population "tout au long de la vie" et "en toutes circonstances" rappelle la campagne concoctée par l’agence Content Design Lab. L’entreprise publique en charge du service de l’eau dans la capitale prend aussi la parole dans le métro parisien, sur ses fontaines et sur les événements publics dont elle sera partenaire au cours des prochaines semaines : l’Euro de foot, Solidays, Paris Plages, etc.

"Les fuites urinaires, ça n'a rien d'extraordinaire". Sur vingt Français, un n'aime pas les petits pois, un deuxième ne connaît pas les paroles de la chanson qu'il chante en voiture, puis un autre souffre d'incontinence. Pour inciter les personnes concernées à sortir du silence, l'Association Française d'Urologie (AFU) a mis en scène un spot aussi surprenant qu'amusant. La vidéo a été diffusée sur la toile à l'occasion de la 13ème semaine de la Continence (du 21 au 27 mars) dans l'espoir de "libérer la parole" sur ce sujet tabou.

Choquer pour mieux sensibiliser. Telle est l'ambition de la dernière campagne du Service d'information du gouvernement (SIG). Avec six spots, il met en scène des situations racistes, xénophobes et antisémites quotidiennes affirmant qu'à partir d'un propos déviant, d'un malentendu, tout peut déraper. "Ça commence par des mots. Ça finit par des crachats, des coups, du sang", scande la voix off. Les différentes vidéos sont toutes issues de faits réels ou basées sur des propos existants sur les réseaux sociaux. Une campagne qui fait crier au scandale sur les réseaux sociaux, mais qui a été réalisée pour "éveiller les consciences" après les attentats de janvier et novembre 2015.